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Chemin de souffrances - comment l'éviter?


pasteur, théologienne,enseignante, souffrance,questions avril 2013,Question venant d'une femme:

Ayant croisé pas mal de femmes dans différents ministères (pasteur, relation d'aide, enseignement, théologie), je me suis rendue compte de la souffrance vécue pour arriver là où elles en sont. Ma question est : Pourquoi et comment éviter cela?


Suffering Women sculpture, Md Ali Park Sarbojanin Durga Puja pandal, Central Kolkata, 2011.

Vos remarques, réponses, conseils sont les bienvenus sous "Commentaires".

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Voici toutes les questions au sujet du ministère de la femme

Commentaires

  • Il y a les souffrances causées par le "machisme" que certains "sanctifient" (comme on a justifié l'esclavage et d'autres aliénations).
    Il y a les souffrances qu'on s'inflige à soi-même, parce qu'on a besoin encore de se "trouver".
    Il y a les souffrances inhérentes à tout engagement chrétien.
    Il me semble que la première sorte est celle concernée par la question. Le seul moyen des les atténuer, c'est d'enseigner l'Église à prendre un chemin de respect envers tous. C'est, qu'à côté des femmes qui souffrent de discrimination, se lèvent des frères qui les épaulent, dans une alliance sainte.
    Mais lutter contre la bêtise et la méchanceté, surtout quand elles se drapent d'un manteau religieux, est un long combat.

  • D'un côté, la souffrance fait partie de la vie ainsi que de la vocation chrétienne. Porter sa croix n'est pas un exercice facile. Sans oublier les souffrances dues aux attaques de tout genre (voir la vie de Paul -> 2Co et 2Ti).

    Néanmoins, il y a des souffrances qui pourraient être évitées. Celui qui cause cette souffrance n'est que rarement conscient de l'ampleur du tort qu'il fait. Aussi est-ce du devoir du témoin (de la scène blessante) de le lui indiquer.

    Parfois, la personne blessée peut aussi demander si l'autre comprend qu'il fait souffrir par sa blague ou son manque d'intérêt. Cela peut conduire à un repentir.

    Dans le domaine des ministères féminins (comme ailleurs), des remarques blessantes peuvent être faites en toute bonne conscience. Un sourire moqueur, une apostrophe lâchée sur un ton désobligeant ne sont interdits par aucun verset biblique. Alors, on s'y adonne à coeur joie, tout en causant d'immenses souffrances.

    Heureux ceux qui procurent la paix, car ils auront du boulot pour longtemps.

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